Samedi… c’est vite dit !

Publié le par lepoudanslatete

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Lauvergeon virée d’Aréva, je commence par la mauvaise nouvelle, elle est remplacée par un ingénieur du corps des Mines, un je sais tout, la bonne est que si elle l’a mauvaise, elle risque de dire deux ou trois trucs pour faire chier… à suivre…

 

Au Maroc les langues se délient, un ami me racontait qu’un ancien ministre, docteur et ancien maire d’une grande ville du sud-ouest aurait remboursé 200.000 francs, à l'époque, de mobilier et vaisselle cassés après une explication avec sa femme…

 

Le steak haché tueur maintenant… vos hamburgers vont avoir une drôle de tête… plus de concombres, plus de viande, plus de tomates, plus de pousses de soja, du pain et, pour combien de temps encore, de la sauce…

 

Grèce, le peuple est dans la rue, ça se rapproche… Ils nous les rendent quand nos 56,7 milliards de dollars… ?

 

Nous allons, enfin, quand je dis nous, c’est le contribuable, rembourser la fac où Ferry n’a pas mis les pieds, c’est quand même pas pour qu’il ferme sa gueule… si ?

 

Ben Laden c’était quand même plus facile à mémoriser que Ayman al-Zawahiri… font chier ces Américains !!!

 

Quel poète ce Kadhafi, il joue aux échecs et mate sa population…

 

Rama Yade fait un bras d’honneur à Sarko… elle me plaît de plus en plus cette Rama, dommage qu’elle soit avec Borloo…

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S
<br /> <br /> ce n'est pas de moi mais c'est d'actualité, et tu en parles aussi ici du Kadhafi:<br /> <br /> <br /> "Kadhafi est parti sans dire au revoir, c'est pas Tripoli..."<br /> <br /> <br /> OK je sors...<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Et ce genre d'infos et de rapports, tu fais quoi avec !! un bisou du mardi ??<br /> <br /> <br /> J’ai un jour rencontré un juge de la Haute Cour de Londres qui se plaignait d’éprouver de plus en plus de difficultés à exprimer son indignation au moment de prononcer une sentence, tant il<br /> semblait que la brutalité des actes commis par les criminels qui lui étaient présentés était de plus en plus impressionnante. Il s'interrogeait: <br /> <br /> <br /> <br /> «Que suis-je supposé faire? Si je voulais être honnête, je devrais dire quelque chose du genre: "C’est le délit le plus épouvantable que j’aie vu depuis, eh bien… Mardi<br /> dernier". Évidemment je ne peux pas dire ça. Mais parfois, trouver l’hyperbole appropriée pour définir à quel point l’affaire qui m’est présentée est unique dans son atrocité peut s’avérer<br /> un tantinet difficile.»<br /> <br /> <br /> <br /> Les employés des organisations humanitaires doivent souvent avoir le même sentiment. Du moins on peut l’espérer. Voici ce qu’Elisabeth Byrs, porte-parole du bureau de coordination des affaires<br /> humanitaires de l’Onu (OCHA), a déclaré juste après<br /> le tremblement de terre qui a ravagé Port-au-Prince, à Haïti, le 12 janvier 2010:  <br /> <br /> <br /> <br /> «C’est une catastrophe historique. Depuis que l’Onu existe, nous n’avons jamais été confrontés à une telle catastrophe. Elle n’est comparable à aucune autre.»<br /> <br /> <br /> <br /> Exagérer les calamités pour être plus visible <br /> <br /> <br /> Le problème avec une rhétorique à ce point excessive est qu’elle requiert une suspension volontaire de l’incrédulité et un degré non négligeable d’amnésie historique. Le séisme haïtien a-t-il<br /> réellement représenté un défi plus grand et une tragédie plus profonde que l’urgence des soins à prodiguer aux réfugiés à la suite du génocide rwandais de 1994 ou des famines des années 1990<br /> en Corée du Nord, qui avaient tous deux suscité l’intervention du bras humanitaire des Nations unies?<br /> <br /> <br /> Peut-être un moraliste pourrait-il se prononcer sur la hiérarchie de ces horreurs, mais sûrement, cela dépasse de loin les capacités d’une fonctionnaire internationale telle que Byrs ou,<br /> d’ailleurs, d’un écrivain comme moi.<br /> <br /> <br /> Prises individuellement, ce genre d’assertions sont déjà assez néfastes. Mais le pire est que lors de pratiquement toutes les catastrophes naturelles, famines, urgences humanitaires ou lors de<br /> déplacements forcés de populations, il y ait toujours un membre d’ONG, un journaliste, un représentant de l’Onu ou un quelconque personnage politique pour dire que ce qui est en train de se<br /> passer dans le pays A, B ou C est le pire exemple de cette sorte dont le monde ait jamais été témoin.<br /> <br /> <br /> En général, la mention du mot «biblique» est un signe qui ne trompe pas (en tout cas quand il est employé métaphoriquement plutôt que dans le sens littéral de la concrétisation de la colère de<br /> Dieu, ce qui peut arriver aux fondamentalistes chrétiens). Il fut utilisé par le journaliste britannique Michael Buerk lors d’un reportage sur la famine en Éthiopie en 1984, et par la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton pour<br /> décrire<br /> Port-au-Prince en 2010, ainsi qu’un certain nombre de fois entre les deux.<br /> <br /> <br /> Mais même les hyperboles doivent être justifiées d’une façon ou d’une autre. Dans le domaine de ce que l’on appelle par convention, quoique de façon quelque peu trompeuse, les urgences<br /> humanitaires, c’est presque toujours à grand renfort du chiffre cru des morts, des maisons détruites, des services interrompus et des moyens de subsistance disparus.<br /> <br /> <br /> Ce fut sans aucun doute le cas pour Haïti, où l’on estime que le tremblement de terre a tué entre 200.000 (l’estimation la plus basse des ONG) et 318.000 personnes (le chiffre officiel du<br /> gouvernement haïtien) et fait 1,5 million de sans-abris, parmi lesquels au printemps 2011, quelque 680.000 vivraient encore dans des camps de réfugiés.<br /> <br /> <br /> Le rapport qui dérange<br /> <br /> <br /> C’est peut-être la raison pour laquelle la fuite, le mois dernier, d’un rapport préparé par le cabinet de conseil et de développement LTL Strategies mettant en doute tous ces chiffres—estimant à<br /> la place un bilan situé quelque part entre 46.000 et 85.000 morts, le déplacement initial de 895.000 réfugiés et des camps encore occupés par 375.000 personnes—a provoqué une si<br /> grande consternation dans les milieux officiels de Washington, sans parler des rangs de nombreuses grandes ONG humanitaires qui travaillent à Haïti aujourd’hui, ainsi qu’au sein du gouvernement<br /> haïtien.<br /> <br /> <br /> L’ironie est que ce rapport avait été commandé par l’agence américaine d’aide au développement international (USAID), qui se garde bien de l’ébruiter, en tout cas pour le moment. Ce qui a incité<br /> Timothy T. Schwartz, principal auteur du rapport, à évoquer sur<br /> son blog «la tentative (du gouvernement américain) de discréditer une enquête qu’il avait lui-même commandée, et dont il avait examiné et approuvé la méthodologie.»<br /> <br /> <br /> Schwartz est un expert de Haïti et un critique de longue date des ONG—tout particulièrement des organisations caritatives chrétiennes, dont la majorité viennent des États-Unis—qui gèrent depuis<br /> longtemps un réseau d’écoles et d’orphelinats dans le pays. Étant donné le caractère controversé du travail de Schwartz, il faut mettre au crédit de l’USAID sa volonté de financer cette<br /> recherche, même si finalement l’agence fuit aujourd’hui ce rapport comme la peste.<br /> <br /> <br /> L'expert n’a eu de cesse de répéter, et il le dit de nouveau sur son blog, que quels que soient les vrais chiffres, le tremblement de terre a été une immense tragédie.<br /> «Intellectuellement, écrit-il, je ne me soucie pas de savoir<br /> combien de personnes ont trouvé la mort.... En termes de tragédie, moins il y en a, mieux c’est.»<br /> <br /> <br /> Voilà qui semble incontestable. Et pourtant, le rapport a suscité une consternation profonde à Washington et à Port-au-Prince. Pour quelle raison? La peur. À une époque où les ressources sont<br /> maigres, où l’administration de Barack Obama subit la pression intense d’un Congrès extrêmement sceptique quant au bien fondé de l’aide humanitaire, la découverte que les ressources consacrées à<br /> Haïti pourraient ne pas avoir été insuffisantes—contrairement à ce que clament de nombreux représentants d’ONG depuis au moins un an—mais en réalité, excessives, est un jeu dangereux.<br /> <br /> <br /> Quiconque est familier des débats qui font rage au Capitole ces derniers temps savent que cette peur est plus que justifiée, avant tout parce qu’elle joue avec le cliché du local corrompu<br /> exploitant le généreux Américain, une image qui n’est jamais très loin de la surface dans les cercles officiels de Washington.<br /> <br /> <br /> Savoir si c’est une raison suffisante pour rejeter les conclusions de Schwartz est une toute autre question. Et en réalité, même si Schwartz est largement à côté de la plaque, il y a peu de<br /> chance que les estimations initiales des morts et des réfugiés de Port-au-Prince soient en rien plus précises que les premières estimations de n’importe quelle autre grande catastrophe naturelle<br /> des cinquante dernières années.<br /> <br /> <br /> Difficile évaluation du nombre de victimes<br /> <br /> <br /> Même aujourd’hui, nous n’avons qu’une idée très approximative du nombre<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Wahou, ça c'est du com... lu vite fait, on est d'accord, et la prochaine sera encore pire...<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> <br /> "Atomic Anne" était ce qu'elle était, à ce poste...<br /> <br /> <br /> Mais maintenant, la porte est ouverte à notre cher président, comme dirait le Champix, pour placer et donner à ses amis l'accès à la plus grande entreprise au monde sur le nucléaire, et je ne<br /> suis pas certain que ce soit par philantropie !!!<br /> <br /> <br /> C'était lors d'une partouze pédophile, au Maroc ??<br /> <br /> <br /> J'espère que le con qu'ombre mon parasol n'est porteur d'aucune bactérie !!<br /> <br /> <br /> Juste une question.... pourquoi les journalistes nomment les personnes qui se révoltent, en Grèce, au Portugal, et ailleurs, les "indignés" ?????? Est-ce en référence à celui qui a écrit un<br /> "livre" de 30 pages ? Perso, ça m'énerve au plus haut point d'entendre le mot "indigné" à toutes les sauces..!!!<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Indigné fait moins peur que révoltés...<br /> <br /> <br /> <br />
:
<br /> <br /> De retour !<br /> Obligée de ressaisir toutes mes coordonnées sur les commentaires, je ne fais qu'un copier/coller ...<br /> Bon dimanche.<br /> Amitiés<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> bon lundi à toi...<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> <br /> 200 000€ pour du mobilier peter suite à une scène de ménage dans une chambre d'hotel au maroc... Tu crois au miracle toi ??<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le steack haché qui tue, c'est vieux comme le monde...<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> c'était en francs...<br /> <br /> <br /> <br />